Re, ça fais longtemps

RP P: Hashford / Kanobi

En un seul mot, comment réussir à définir mes vacances de noël ? Ah oui j'ai trouvé. Chiante !

Pu**** je m'y attendais pas à çà. En plus j'ai mal partout maintenant ! Et le vieux (mon grand père de 98 années qui pète toujours la forme) ma littéralement obligé à faire "Chopin nocturne op. 9" en entier seul et sur le piano.

Seul bon coté de ces vacances j'ai pue rencontré mon petit frère "Yogaël" du mélange "Yoga" et "Gaël".
Moi je suis arrivé directement en catastrophe à la demeure familiale en Ecosse, car Edward, le major d'homme, m'a dis que ma mère aller accoucher. Et vue que mes parents été pas d'accord sur son prénom c'est moi qui l'ais choisi. Mais au final il ne sera pas un Hashford. Ses yeux son pas vert/bleu comme ceux des Hashford, il a les mêmes yeux que notre mère. Il sera donc un Ueno.

Bref je rentre à l'interna, j'ai 7cm en plus, des piercing aux oreilles et un tatouage en forme de grenouille sur un médiator au niveau de l'omoplate gauche.

*Ouvre la porte de la chambre*

- Tadaima Kuro-chan [Je suis rentré Petit Kuro]

Ma voix aussi à pas mal changer T.T

Kuro, le petit chaton noir aux yeux verron que j'avais ramené à l'interna avec moi, semble au départ ce méfier mais fini par reconnaître mon odeur et me colle littéralement pendant que j déballe mes affaires de ma valise.

L'autre chat doit pas être content que je sois parti sans dire un mot --'. Mais bon, j'avais pas trop le choix moi.

- Si il me reconnaît pas, je l’emplâtre ^^.

Je fini de ranger de ranger mes chemises quant la porte s'ouvre.

J'ai qu'une chose à dire... les vacances c'est pourrit. Je m'emmerdais tellement, que j'ai finis par me trouver un taf plus pour passer le temps qu'autre chose. Je bosse dans un magasin de musique en ville. Le patron, Kiran, soutenait mon groupe à l'époque. Lorsque je suis passé à la boutique pour tester les guitares en début de vac -toujours dans l'espoir de passer le temps- Kiran m'a assez vite repéré. Ça faisait un moment que j'étais plus venu. Il a été sacrément surpris. Faut dire que depuis que mon groupe à cassé, j'y étais plus vraiment retourné. De ce fait, il a été surpris de me voir rôder dans sa boutique. Quand il a comprit que je me faisais royalement chier, il m'a proposé de bosser à la boutique. N'ayant rien d'autre de prévu, j'ai accepté. Ça me permet de me refixer sur la musique, de côtoyer d'autre musicien et de passé mes journées entouré de guitares et d'autres instruments...

J'ai finis ma journée pour aujourd'hui. Je meurs de faim... je me demande ce qu'il y a la cafet. Poua si ça se trouve y a que de la merde comme d'hab. Je devrais peut-être allé bouffer dehors. Ouais c'est une bonne idée ça... je vais prendre une douche, me changer, nourrir Kuro puis ensuite j'irai bouffer à l'extérieur. Je sais pas trop où... poua je trouverai bien.

J'ouvre la porte de ma chambre, tiens? c'est ouvert? Je vois un mec de dos, un gars assez grand, blond... c'est Maki? Je soupirs et referme la porte en la claquant. Je m'avance vers mon lit et pose mon sac avant de prendre une clope et de l'allumer.

- Bah alors Maki-kun t'es pas mort? Je pensais que tu t'étais barré de l'école où que t'étais plus de ce monde...

Je rejette la fumée avant de m'appuyer contre le mur à côté de la fenêtre.

- Tu portes pas tes robes de gonzesses aujourd'hui? T'as laissé tombé tes tutu pour des vrais fringues?

Je suis de mauvaise humeur... j'ai envie de le frapper allez savoir pourquoi... Pff il y a des claques qui se perde parfois... mouais... t'facon on est rien l'un pour l'autre appart des coloc... qu'est-ce que j'espère moi.

Il a soupirait en rentrant. Il ne voulait pas me voir ?

- Bah alors Maki-kun t'es pas mort? Je pensais que tu t'étais barré de l'école où que t'étais plus de ce monde...

C'est clair, il était en colère. Mais il m'avait vraiment manqué. Ce grand brun au caractère et aussi imprévisible qu'un chat. Surtout que le soleil qui éclairé ses cheveux noir le rendait magnifique.

- Tu portes pas tes robes de gonzesses aujourd'hui? T'as laissé tombé tes tutu pour des vrais fringues?

Pour le coup il avait une raison d'être en colère, et il venait de m'en donner une. Je l'ai donc poussé contre le lit, je lui ai piqué sa cigarette et j'en ai profiter qu'il soit coucher pour m’asseoir sur lui. Et c'est tout en tirant une latte que je lui ai sorti avec peu de tact:

- Maintenant que je suis rentré et que ne porte pas de robe difficile a enlever, on baise ?

Mon sourire n'avait rien d'amical. Pendant toutes les vacances je n'ai rien pu faire, et il était hors de question de me soulager seul. Dans un sens j'était content de revenir et de le revoir mais apparemment j'avais été le seul.
En un mouvement, je détache ma cravate, qui cela va sans dire et très résistante (80 000 cycle de tissage) ma mère ne choisi jamais des tissus peut résistant pour ses créations, et lui attache les mains avec.

- J'ai envi de jouer, pas toi ? Kanobi-san ?

On est coloc', et rien de plus...

Putain de...! Chier, il m'a pris par surprise. Il se fou de moi là nan? Je me débat, putain le con, il en a pas l'air mais il a une de ces putains de force. J'essaye de me dégager mais j'ai grave de la peine pour prendre le dessus. Je déteste ça putain... j'ai limite envie de cogner là...

- Tu te fou de moi? Putain Maki tu te fou de moi là nan?!? Tu disparais du jour au lendemain, puis tu débarque comme si de rien était et tu veux baiser maintenant? C'est nouveau ça! Merde t'as bouffé un clown ma parole c'est pas possible!

J'essaye de me dégager mais ce connard m'immobilise... il a prit des cours de combats ou quoi... chier... j'ai pourtant fait des armes martiaux quelques temps mais lui a du en faire plus que moi ou était plus doué. Je rigole amèrement avant de lui dire,

- Jouer? Tu te fouterai pas un peu de ma gueule là? Tu veux qu'on soit amant?

Je le foudroie du regard. Je déteste qu'on prenne le dessus de la sorte... je supporte pas d'être immobiliser et de ne pas pouvoir me défendre s'il arriverait quelque chose. Je suis du genre à vouloir contrôler les situations et éviter celles où je ne suis pas en position de force. Il m'est bien sûr déjà arrivé de coucher avec des dominants... je me suis déjà laissé abandonné entre les mains d'hommes murs et plus dominant que moi mais avec Maki c'est... différent. Je saurais l'expliquer... mais merde, ça l'est. Il a une façon bien perverse de me regarder... qui me fou presque les jetons. Je le verrai limite avec un fouet... poua j'en ai des frissons.

- Tu te fou de moi? Putain Maki tu te fou de moi là nan?!? Tu disparais du jour au lendemain, puis tu débarque comme si de rien était et tu veux baiser maintenant? C'est nouveau ça! Merde t'as bouffé un clown ma parole c'est pas possible!

Moi non plus je n'avais pas prévu d'être envoyer en Écosse par un jet. Le secrétaire de mon père m'attendait à l'entrée du pensionnat, une valise énorme à ses pieds. J'ai eu beau me débattre, il m'emmena de force à l'aéroport. Une fois dans cette énorme maison j'ai pu parler très longuement avec mon paternel. Ma vie va devenir de plus en plus compliqué.

- Jouer? Tu te foutrai pas un peu de ma gueule là? Tu veux qu'on soit amant?
- Tu crois que le harcèlement sexuel fait partie de mes hobbys peut être ?! BAKA !

Je l'ai tiré vers moi pour l'embrasser à pleine bouche. J'ai rompu le baiser pour le regarder. Putain... Je l’ai regarder intensément les larmes aux yeux. Je n'ai pas arrêter de pensé à lui pendant ces trois semaines. Il m'a manqué cet idiot.

- C’est idiot, j’avais vraiment envie de te voir, de te parler, mais je me suis aperçu trop tard que je n’avais même pas ton numéro, et le pensionnat refuse qu’on appelle les élèves si ce n’est pas la famille. Tu m’as manqué putain…J’EN AI ASSER DE JOUER LES ELEVES MODEL, LES GENTILS GARCONS ET DE JOUER LE RÔLE DU FILS PARFAIT ! POURQUOIS JE ME SENS MOI-MEME QU’AVEC TOI ? WHY ?!

Ma fierté en a pris un sacret coup. A pleurer devant lui. Mon père m'a toujours dis de ne pleurer que dans ma chambre, seul et en enfouissant ma tête dans les oreillers.
J'ai alors poser ma tête contre son torse et y ai pleuré en silence.

- Je te détacherais plus tard...alors s'il te plait laisse moi comme ça pendant un petit moment...

Lorsqu'il m'embrasse, je suis surpris. Sur le coup je m'y attendais pas... Il plonge ensuite son regard dans le mien. J'ai l'impression que se sont deux flammes azures intenses qui brûlent ma peau. Soudain, ils se voilent un peu et de petites larmes viennent remplir le bleu si intense de ses Iris.

- C’est idiot, j’avais vraiment envie de te voir, de te parler, mais je me suis aperçu trop tard que je n’avais même pas ton numéro, et le pensionnat refuse qu’on appelle les élèves si ce n’est pas la famille. Tu m’as manqué putain…J’EN AI ASSER DE JOUER LES ELEVES MODEL, LES GENTILS GARCONS ET DE JOUER LE RÔLE DU FILS PARFAIT ! POURQUOIS JE ME SENS MOI-MEME QU’AVEC TOI ? WHY ?!

Il... il a voulut me voir? M'appeler? Merde... c'est quoi cette sensation... je ne comprends pas... putain je me comprends plus... qu'est-ce qui m'arrive... J'ai l'impression que mon coeur se serre lorsque j'entends la fin de sa phrase. Il pose sa tête sur mon torse, avant de se mettre à pleurer en silence. Il me demande de le laisser s'appuyer sur moi? Il est contre mon torse, ses mains serrent mon T-shirt. Je me détends un peu... je m'adoucis doucement. Je lui dis d'une voix chargée d'émotion,

- Baka...

J'hésite un peu, puis bouge mes bras qui étaient au-dessus de ma tête. Toujours lié, j'écarte mes bras pour les passer autour de sa tête afin de l'entourer comme je peux. Cette position ne m'arrange pas, je me redresse un peu, m’appuie contre le dossier du lit, puis rapproche Maki pour qu'il se retrouve dans mes bras, entre mes jambes, toujours contre mon torse comme un cocon protecteur. Il semble si fragile en ce moment que je ne peux qu'être attendrit... merde... ça me ressemble pas. Je fuis en générale les gens... je supporte pas beaucoup le contact mais avec lui c'est différent... pourquoi? Il ne se sent lui-même qu'avec moi? Je pourrais en dire de même pour moi. Je resserre mon étreinte autour de son corps. Il a bien grandit... même s'il reste quand même plus petit que moi. On pourrait penser qu'il est fière, fort et imbus de lui-même... poua il l'est sans doute en fait *je souris un peu* mais il a aussi un côté fragile et... merde, mignon. Je lui avouerai jamais ça... c'est trop embarrassant. J'approche ma bouche de son oreille et lui murmure,

- Tu peux rester ainsi aussi longtemps que tu en auras besoin. Maki-kun... je...

Je marque une pause. Je n'ai pas l'habitude de m'ouvrir. Je ne sais pas comment m'y prendre.

- Merde...

C'est nouveau pour moi... je ne sais pas comment je suis censé m'exprimer. Je me racle un peu la gorge soudain un peu gêné, puis lui dis en détournant le yeux,

- Ta personnalité complètement folle m'a manquée...

Merde comme si j'allais lui dire à voix haute qu'il m'a manqué... que je me sentais seul sans lui... chier s'il peut pas lire entre les ligne je... putain... pourquoi j'arrive jamais à avouer les choses telle qu'elles sont. Je n'arrive pas à m'exprimer comme il le fait lui... je n'arrive pas à être sincère avec moi et avouer ce qui se passent au font de moi... mes peines... mes doutes... ma douleur... cette douleur qui m'habite depuis tant d'années... cette douleur qui me détruit depuis gamin. Chier... merde putain... pourquoi Maki fait naitre de telle confusion en moi? Pourquoi est-ce qu'il arrive à détruire mes défenses... je dis doucement à voix haute sans le réaliser,

- Merde... pourquoi tu détruits toujours mes défenses avec autant de facilité... ça devrait pas être possible.

Je resserre l'étreinte autour de lui. Je ne veux plus qu'il parte... ne part pas... je ne veux plus ressentir cette solitude si pesante... si envahissante... si destructrice... me laisse pas...

Je me sens bien, dans ses bras si tendre, son torse chaud et encore mieux quant je l'entend me dire que je lui ai manqué, enfin...en quelque sorte.

- Merde... pourquoi tu détruits toujours mes défenses avec autant de facilité... ça devrait pas être possible.

Ses bras si chaud et ses mains qui joue la musique que j'aime se resert autour de moi. Je ne sais pas si je me le suis imaginais mais à ce moment là j'ai eu l'impression qu'ils me disaient qu'une seule chose.

- Je ne partirais plus sans te le dire...

Je lève alors mon regard, toujours rempli de larmes et le fixe dans les yeux, mais cette fois, avec un beaux sourire.

- On dirait que je ne peux plus te laisser tout seul, Ren...

Ses bras étant attaché, je les ai libéré de cette cravate. J'avais du serrer trop fort car il y restait des marques rouges. Je lui ai alors pris le poignet, et avant de lui embraser tendrement je lui es murmuré un :

- Désolé...

Mais quant même il était si mignon attaché. Je l'ai regardé pendant un moment avant de lui dire plein de chose qui commençaient à peser lourd.

- Mon premier coloc', était un terminal et trois semaine après mon arrivé, il a essayé de me violer dans cette chambre. Avant de quitté cette chambre il m'a dit que tout se qu'il avait fait s'était à cause de moi. Les deuxièmes, troisièmes et quatrièmes, se sont plein a plusieurs reprise que je ne les traitais pas comme des êtres humains et sont partis en me traitant de taré, ce que je peux comprendre. Et celui avant toi...ben...il ne veut pas mieux que le premier.

Je dois avoué que je me demande vraiment à quoi il pense. Je continu dans ma lancé tout en continuant de le regarder.

- Bref, moi non plus je ne suis pas SI sociable que ça. Pour tout te dire je trouve que je joue extrêmement mal. Je suis juste capable de reproduire les son que j'entend. Je mémorise tout se que je lis, tout ce que je vois, tout ce que j'entend. Mais il y a une seul chose que je ne comprend pas et c'est pourquoi est'ce je t'adore tant ?! J'ai envi de te toucher, de t'embrasser, parfois c'est même de te voir pleurer ...

Pitié, arrête moi avant que je dise quelque chose de bizarre !

- Why I love you so many and thy feline personality ?!

Maintenant je dois être passé en mode fraise et j'ai extrêmement honte.

Je frotte mes poignet un peu douloureuses tout en le regardant en coin. Je reste choqué sans rien dire lorsqu'il me parle de ses anciens colocataires. Pourquoi je ressens une colère sourde qui bouillonne en moi comme une longue spirale?

- Bref, moi non plus je ne suis pas SI sociable que ça. Pour tout te dire je trouve que je joue extrêmement mal. Je suis juste capable de reproduire les son que j'entend. Je mémorise tout se que je lis, tout ce que je vois, tout ce que j'entend. Mais il y a une seul chose que je ne comprend pas et c'est pourquoi est'ce que je t'adore tant ?! J'ai envi de te toucher, de t'embrasser, parfois c'est même de te voir pleurer ...

Je le regarde un peu surpris par sa déclaration et je sens mes joues chauffer un peu. Il m'adore? Il a envie de... me... toucher? De m'embrasser... je pose deux doigts sur mes lèvres inconsciemment lorsque je pense à ce qu'il vient de me dire. Est-ce que j'ai aussi envie de l'embrasser? Oui... ça met déjà passé par la tête... je rougis un peu plus mais ce qui m'achève c'est qui me déstabilise c'est ce qu'il me dit ensuite en anglais,

- Why I love you so many and thy feline personality ?!

Il baisse ensuite la tête, le visage rouge pivoine. Il ressemble à une petite fraise. Je ne peux m'empêcher de sourire. Il est adorable.

- Perhaps because I feel more or less the same thing?

Je détourne le regard super gêné et continue en japonais,

- Je pense que je t'apprécie vraiment. Et c'est faux Maki... Tu joues bien.

Je le regarde dans les yeux et continue dans ma lancé,

- Pour ce qui est de reproduire les sons ou non... je pense qu'il faut que t'arrête de te prendre autant la tête. Joue pour toi, ne joue pas pour les autres. Soit un peu plus égoïste il le faut parfois. Joue ce que tu ressens, joue tes émotions, tes peurs, tes doutes, tes craintes sans réfléchir au pourquoi du comment.

Je marque une petite pose et finis en lui disant,

- Et tes anciens coloc... si je les vois je les fracasse. T'as faim? On va à la cafet ou en ville?

Il est fière. Un vrai japonais. Il ne me regardera pas, même alors qu'il me dit que lui aussi, il m’apprécie.

- Et c'est faux Maki... Tu joues bien. Pour ce qui est de reproduire les sons ou non... je pense qu'il faut que t'arrête de te prendre autant la tête. Joue pour toi, ne joue pas pour les autres. Soit un peu plus égoïste il le faut parfois. Joue ce que tu ressens, joue tes émotions, tes peurs, tes doutes, tes craintes sans réfléchir au pourquoi du comment.

Ses beaux yeux clairs m’hypnotisent. Je ne peux pas m’empêcher de me dire "c'est trop gentil". J'en ai presque les larmes aux yeux. Je joue bien ? Vraiment ? C'est-i que je suis obliger de tout reproduire sur piano avant de le singer bêtement l'air sur autre chose ? J'ai envi de pleuré tellement que ses mots me réconforte.

- Et tes anciens coloc... si je les vois je les fracasse. T'as faim? On va à la cafet ou en ville?

Il est doué pour détourné la conversation. Il est étonnamment gentil et...kawai. Oui, he's so cute today.

- En ville tu trouve plus de chose. En plus je veux acheter des pocky chery !

Je me lève et prend une veste dans ma valise, plutôt chaude vu le temps mais qui reste dans mon style.

veste:

- Aller on y va ? Come on, let's go.